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 Vladilen Flemming ♣

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Vladilen Flemming
Vladilen Flemming

Messages : 44
Arrivée : 12/10/2012

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MessageSujet: Vladilen Flemming ♣   Vladilen Flemming ♣ EmptyMar 6 Nov - 17:32



Flemming Vladilen
20 ans. Amagus. Pays de Galle.
« Puisqu'on ne peut aller à l'envers des choses, allons dans leur sens. »


Apparence

Je suis de taille moyenne : je fais un mètre quatre-vingt un. Ça vous la coupe hein ? Le reste de ma description sera subjective. Après tout, qu'est-ce que la beauté ? Un nez est hideux ou magnifique selon la personne qui le perçoit.

Je me trouve assez bien proportionné. Mes épaules sont un peu larges, mais je suis loin d'être quelqu'un de musclé, d'ailleurs je suis totalement nul en sport, soit dit en passant. Je ne vous dirais pas que mes muscles sont fins et bien dessinés, ou plutôt si je le disais, ce serait un terrible mensonge. Je ne suis pas corpulent pour autant. En fait moi je me trouve plutôt pas mal, sans avoir la peau sur les os ni le gras sous la peau. Ouais, je suis mignon. Je me fiche de mes cheveux. Ils sont noirs ébènes et longs. Ma mère n'a jamais voulu que je les coupe, alors je les ai simplement gardés sans pour autant les entretenir spécialement. Ils sont lisses, mais souvent en bataille, une mèche plus courte au niveau de mon visage pour que je vois quelque chose au monde qui m'entoure. Lorsqu'ils m'ennuient trop je les attache simplement avec un élastique. Captivant, n'est-il pas ?

Mes yeux sont noisette, rien de plus banal. Puisque j'ai dit que j'étais subjectif, je vous dirais donc que je ne les aime pas spécialement. Ils sont d'une simplicité. A vrai dire, si je n'avais pas d'yeux, cela ne se verrait peut-être même pas tant ils passent inaperçu.
J'ai la peau pâle, caractéristique de mon manque d'amour pour le soleil. Elle est en revanche plutôt jolie et contraste agréablement avec mes cheveux. Oui, il faut bien s'envoyer des fleurs de temps en temps.
Mon nez n'est pas horrible. Je vous embrouille à vous parler de nez horrible alors que le mien est mignon, pas vrai ? Mais désolé de vous décevoir, il n'est pas crochu, ni d'un volume trois fois plus gros que la moyenne.

Que vous dire de plus ? Mon style vestimentaire n'est pas particulièrement remarquable. J'aime me mettre en valeur dans des vêtements assez moulants, la sensation d'attirer le regard positivement m'est toujours plaisante. Mais hormis cela, je ne porte pas de vêtements excentriques pour me faire remarquer, je préfère avoir le loisir de rester dans la discrétion.

Je ne possède pas de piercing, mais j'ai un tatouage sur l'épaule droite qui n'est pas visible dans une situation ordinaire If you know what I mean. Il représente simplement un trèfle à trois feuilles. Pourquoi ? Parce que j'estime qu'ils sont sous-représentés. Toujours, on pense au trèfle à quatre feuilles, si rare. Il ne représente pas une raison suffisante pour qu'on oublie le trèfle à trois feuilles, alors oui, je me bats pour leur reconnaissance.

Ceci est loin d'être une liste exhaustive. Par exemple vous ne savez rien de l'aspect de mes orteils, mais c'est bien trop personnel de les décrire à la vue de tous voyons. Bande de petits curieux.



Hohoho, une description psychologique, comme ceci me rend guilleret. Allez, restons donc dans la subjectivité la plus parfaite mes amis.

Pardonnez mon langage bien vulgaire, mais je suis un emmerdeur. Ma passion dans la vie et ce qui occupe mes journées, c'est taquiner autrui. Il est toujours agréable de se divertir en regardant les autres jouer. C'est donc là le trait qui me caractérise le plus.

Vous ne trouverez pas en moi une personne déprimée : je prends la vie comme elle vient et tente de me réjouir de ses bons côtés. Cependant, cela m'a déjà joué de nombreux tours, comme ma réputation d'homme a-amoureux : quelqu'un qui ne semble pas capable de s'impliquer émotionnellement dans toutes les situations doit être considéré comme une personne qui n'est pas capable d'amour. Ce qui est bien loin de la vérité. Evidemment, même avec cette philosophie, je suis forcé d'admettre que certains évènements ne présentent tout simplement pas de bénéfices. Alors oui, même si je suis toujours jovial et que mon sourire apparaît à la moindre occasion, j'ai comme tout le monde quelques moments difficiles. Mais vous ne les verrez probablement jamais, ainsi va la vie.

D'ailleurs je pourrais ajouter que j'aime tout particulièrement la nourriture. Manger est quelque chose que j'adore. Si je ne risquais pas de ressembler à une baleine, je mangerais bien plus que ce que je suis censé le faire. Mais une passion je vous dis. Une passion.

Malgré ce que pourrait laisser croire mon côté taquin, je me considère comme quelqu'un de gentil. Je suis toujours prêt à aider quelqu'un que j'apprécie s'il en a besoin. N'allons pas jusqu'à me qualifier de généreux ; je ne me couperais jamais en quatre pour un parfait inconnu. Mais je tiens à mes amis et j'aime les aider. Bref, je suis plus normal qu'il y paraît, visiblement.

Est-ce bien là l'endroit pour vous dire à quel point je suis mauvais en sport ? Vous souvenez-vous de ces trois personnes qui n'étaient jamais choisies durant le cours et que les capitaines d'équipe se répartissaient « du moins pire au plus pire » ? Eh bien j'en faisais partie. Cela dit, la croyance selon laquelle ceux mauvais en sport sont des intellectuels est totalement fausse : je suis un élève très inégal. Mon niveau en mathématiques est abyssal, par exemple. Mais je suis très bon en langues et en sciences. N'y cherchez aucune logique : je m'investis dans les choses qui me semblent compréhensibles. Et je dois admettre que certaines matières sont des plus obscures pour moi.

J'aime beaucoup l'argent. Quand une occasion, je suis prêt à pas mal de choses pour en obtenir. Evidemment, je ne ferais pas non plus n'importe quoi pour n'importe quel prix. Mais je dois admettre qu'il est assez simple de me soudoyer, c'est là ma plus grande faiblesse.

J'adore réfléchir, me perdre dans mes propres pensées jusqu'à ne plus en trouver le bout. L'imaginaire est infini, comment ne pas désirer s'y égarer ? L'infini équivaut à tous nos désirs. D'ailleurs étant enfant, j'avais beaucoup d'amis imaginaires, souvent beaucoup mieux que les vrais. Mais bon, il faut reconnaître qu'à force, on aime moins les personnes répondant positivement à nos moindres désirs. Le challenge est important, et on a besoin d'être contredit pour mieux avancer.

Je dirais que ma perception du monde diffère pas mal de celle du commun des mortels. Je me pose beaucoup de questions qui ne viendraient pas à l'esprit du citoyen lambda. Cela dit je ne m'en prétend pas plus intelligent, simplement plus distrait, peut-être. Bref, rentrer dans une porte fermée ou trébucher dans un escaliers sont des maladresses qui me sont quotidiennes. On me dit souvent que j'ai la tête dans les nuages. Mais n'allez pas croire que je ne peux pas être extrêmement attentif, je peux parfaitement tenir une conversation passionnée avec quelqu'un. Et je m'investis beaucoup dans ce que j'aime, donc j'affirme haut et fort que je ne vis pas dans mon petit monde imaginaire sans arrêt.

Et pour terminer je dirais que je suis quelqu'un de très zen. Il est vraiment difficile de me mettre sur les nerfs : rien ne m'énerve. Enfin, si vous tapez dans les cordes sensibles, évidemment je peux sortir de mes gonds. Mais ils sont plutôt bien serrés, et je ne vous donnerais pas les clés pour m'ennuyer. ♥

Caractère


Histoire

Eh bien, que de données personnelles. Mais bon, je me plie à vous exigences.

Je suis né à Bangor, une ville fort mouvementée mais à laquelle je n'eus aucun souci à m'habituer, située sur la côte Nord du Pays de Galles. Vladilen Flemming, pas très british comme prénom me direz-vous : et vous aurez raison. Mes parents, fiers Gallois tous les deux, me firent hériter du nom Flemming, mais ma mère décida à ma naissance, probablement sous le coup d'une violente montée d'hormones, de me nommer Vladilen. Peu commun, mais en réalité j'apprécie mon prénom : sa mélodie est, à mon sens, d'une beauté et d'une harmonie fort rare. Mister Matthew Flemming, mon père, travaillait en tant qu'organisateur de mariages. Une profession peu commune à la gente masculine, je vous l'accorde volontiers, mais c'était là sa passion. Le stress, la difficulté, les défis, et le bonheur inscrit sur le visage de ses clients à la fin. Une personne qui gagne bien sa vie mais qui n'y prêtait guère attention. Il rencontra de par sa profession ma mère, Lucy McGrath, qui était chargée de fournir les pâtisseries pour ledit mariage. Je n'eus pas les détails de leur rencontre, mais leur sourire en coin lorsqu'ils l'évoquent me donne l'impression que je préfère ne rien en savoir. Vous n'en saurez ainsi rien non plus. Bref, ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. Bon, deux, ce n'est peut-être pas énorme. Mais quand bien même, cette histoire est plutôt joyeuse.

Je suis donc Vladilen, plus souvent appelé Vlad, cadet d'une fratrie de deux enfants. Mon grand frère, Elliot, a aujourd'hui 23 ans et s'est toujours bien occupé de moi, que ce soit pour me venir en aide ou pour me casser le nez lorsque nous nous disputions. Bref, une relation fraternelle tout ce qu'il y a de plus normal. Quoique, aujourd'hui il ne me casse plus le nez. Heureusement, malheureusement ? Qu'en sais-je.

Bref, revenons à nos moutons (n'allez pas croire que je possède des moutons). Mes parents n'étaient pas plus riches qu'ils n'étaient pauvres. A peine deux années après ma naissance, mon père décida de changer de mode de vie : le stress, ce n'était plus pour lui. Il décida donc de rester au foyer pour s'occuper de nous pendant que ma mère travaillait avec acharnement dans le milieu de la pâtisserie. Sa passion devint le jardinage, et plus spécifiquement les fleurs. Lorsqu'il n'avait pas à s'occuper d'Elliot et moi, il faisait visiter son jardin merveilleux à quelques clients. Je dois admettre qu'il s'agit d'une organisation familiale peu commune, mais je m'en complaisais parfaitement. Ma mère est une femme au caractère fort, une véritable battante. Mais puisqu'elle passait peu de temps à la maison, j'ai bien plus eu à faire au caractère laxiste de mon cher père. C'est probablement la raison pour laquelle je suis quelqu'un de très zen et peu concerné par le succès et le prestige.

En grandissant, je me suis découvert une passion folle pour l'imaginaire. J'aimais dessiner, dessiner, et encore dessiner. J'imaginais des histoires dans ma tête et les remettais sur papier. J'expliquais le soir au dîner tout ce que j'avais fait avec mes amis imaginaires. Au départ mes parents trouvaient cela mignon, mais au fur et à mesure ils ont commencé à s'inquiéter un peu pour moi, pensant que j'allais me retrouver seul à l'école. J'ai donc fini par devoir arrêter d'en parler et j'ai été forcé à la sociabilisation avec des enfants de mon âge. Quelle triste époque.

J'ai détesté mes années de collège. La puberté : pourquoi avons-nous besoin de ceci ? Bref, à cette époque j'avais pris du poids. Pas mal de poids même. J'étais plutôt hideux, au visage bouffi contrairement à tous les garçons de mon âge ou presque. Les élèves ne se moquaient pas souvent de moi, mais j'étais envisagé comme « le petit gros » plus que comme un collégien masculin à part entière. Vous savez, quand on est gros, on devient asexué. C'est un phénomène plutôt étrange pas vrai ? Il existe donc trois catégories de sexe : féminin, masculin et gros. J'avais toujours envie d'ajouter une case lorsqu'il fallait cocher ceci sur les fiches de présentation de début d'année. Vous comprenez donc mieux pourquoi le sport et moi, ce n'est pas le grand amour.

Cependant, quel moment moins adapté qu'une période de surpoids pour découvrir vos attirances sexuelles ? Les filles me plaisaient, mais je trouvais aussi des garçons beaux, attirants. Enfin, quelque part, quand on est asexué, c'est normal de s'intéresser aux autres sexes. Au final j'étais purement hétéro : les gros ne m'intéressaient pas non plus. Ce fut donc une longue période de solitude pour moi que j'aurais aimé rayer de ma vie.

Mais la puberté fit son entrée fracassante, et mon poids décida donc de s'en aller en faisant simplement un peu plus attention à ce que je mangeais. Je suis donc devenu bien plus séduisant en entrant au lycée. D'ailleurs, comme un effet du Sort, les gens semblaient m'apprécier davantage en étant plus attrayant. J'étais donc passé d'hétéro à bisexuel : j'étais un homme qui aimait les hommes et les femmes. La belle vie hein ? Eh bien non ! Qui a dit qu'être bi, c'était plus simple parce qu'on avait tout le monde à portée ? Figure-vous que les choses sont bien plus complexes.

Bref, j'avais bien du mal à démarrer ma vie amoureuse d'homme tout frais. Mais un jeune homme aux aspects fort douteux vint un jour me parler, un simple lycéen. Il était gay, et souhaitait sortir avec moi. Un peu désespéré, j'acceptais. Mais il s'agissait là d'une outrageuse manigance pour me tourner en ridicule. Il se joua de moi par pur plaisir et sadisme, s'amusa à me dire tout ce qu'un être humain normal souhaitait entendre, et finit par m'avouer qu'il n'avait fait que jouer, et que ça avait « bien fait marrer ses potes ».

Après quoi, j'eus quelques potentielles tendances à passer des soirées dans des bars à la réputation plutôt malfamée, et peut-être à tester quelques substances mauvaises pour la santé, mais délicieuses pour l'imaginaire. Bref, ce petit jeu mené par mon premier petit ami m'avait conduit à prendre de la drogue, et ce à bien plus de reprises que je ne l'aurais jamais pensé. Mon grand frère s'inquiétait de mon teint livide, et un jour il découvrit les piqures entre mes orteils (haha, quand je vous parlais de mes orteils). Il décida alors de tout dire à mes parents, ce qui me valut une correction bien difficile. Ma mère expliqua le problème à mon établissement scolaire, j'en fus renvoyé à ma dernière année et fus forcé de subir un sevrage des plus difficiles. Ou plutôt un sevrage normal, mais vous savez comme tout nous paraît insurmontable dès que ça nous concerne.

J'étais sorti de ce genre de problème. Depuis quatre années entières maintenant, je n'avais retouché à rien et je n'avais pas l'intention de recommencer, bien entendu. Ma vie se déroulait plutôt bien jusque là, tout semblait aller pour le mieux et mon insouciance caractéristique avait repris sa place prépondérante. Jusqu'au jour où tout bascula. Le jour où ma routine fut brisée. Le jour où rien n'allait plus jamais être comme avant.

Alors que je me contentais de boire un verre dans un bar avec des amis, une bellâtre m'a abordé. Quand je dis bellâtre, ce n'est pas pour exagérer. C'est le genre de garçon qui nous fait forcément tourner le regard vers lui, quelle que soit notre orientation sexuelle (il n'était pas gros). Il s'installa à ma table avec quelques uns de ses amis. Il me fit des avances auquel seul un fou aurait tenté de resister ; et me proposa de le raccompagner chez lui. L'air triomphant, je lançai un large sourire à mes amis, jaloux de ma chance exquise. Je prenais toujours les choses dans le sens où elles se présentaient, mais là elles avaient eu la bonne idée d'être merveilleuses, quel que soit le point de vue.

En arrivant, nous fîmes quelques petites choses que je ne pourrais conter à des lecteurs mineurs. Puis, avant de passer à la suite, il me suggéra de quoi rendre les choses encore plus fantastiques ; pour que cette nuit soit inoubliable. Je n'ai jamais su dire non à la politesse accompagnée d'un beau sourire et d'un corps nu à tomber par terre. Et il me proposa un matériel que je connaissais très bien. La seringue, la cuillère et le briquet, accompagné de la poudre blanche. Je ne sus résister. Pour une seule fois, qu'est-ce que cela pouvait bien faire ? C'est ce que chacun se dit quand il s'apprête à faire quelque chose qu'il sait très néfaste. Mais je le fis. La sensation fut superbe, mais le reste de mes souvenirs s'avère être particulièrement flou. Je me souviens que le bel homme dont je ne connaissais même pas le nom et moi avions poursuivi nos activités. Je me souviens des sensations en effet inoubliables. Je me souviens être littéralement tombé de sommeil.

Mais définitivement, qu'est-ce que je fiche dans une salle blanche avec de parfaits inconnus autour de moi ? Il est fort probable que le reste de cette nuit reste un mystère pour moi. Mais une chose est certaine : je ne l'oublierais effectivement pas.

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Gehanne Artëen
Gehanne Artëen

Messages : 75
Arrivée : 10/10/2012

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MessageSujet: Re: Vladilen Flemming ♣   Vladilen Flemming ♣ EmptyMar 6 Nov - 17:54

Nyyya, merveilleux ce personnage. Very Happy
Tu sais comme je l'aime ! ♥️

Jolie fiche, bien écrite et très intéressante !

Au plaisir de rp, mon cher compatriote ! ♥️
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https://crossway.forumactif.org
 

Vladilen Flemming ♣

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